
Né en banlieue parisienne, Mario Pietranna passe son enfance dans un pavillon situé sous les pistes d’Orly.
Son père, Pietro, ouvrier en usine, et sa mère, Anna, femme au foyer, parlent un français approximatif.
Ici, dans cette maison, on parle italien, on parle sicilien, on mange sicilien, on boit sicilien, on vit sicilien. Ici, c’est la Sicile perdue au milieu de la banlieue parisienne.
Entre culture sicilienne et culture française, Mario grandit dans ce métissage à la fois tendre et tumultueux.
Son père, Pietro, ouvrier en usine, et sa mère, Anna, femme au foyer, parlent un français approximatif.
Ici, dans cette maison, on parle italien, on parle sicilien, on mange sicilien, on boit sicilien, on vit sicilien. Ici, c’est la Sicile perdue au milieu de la banlieue parisienne.
Entre culture sicilienne et culture française, Mario grandit dans ce métissage à la fois tendre et tumultueux.
🏥 Les années de sanatorium et la découverte artistique

Suite à des problèmes cardiaques, Mario passe quatre ans dans un sanatorium perdu en Seine-et-Marne.
Un ami guitariste lui apprend alors ses premiers accords — « La poupée qui fait non » (Michel Polnareff) et « Smoke on the Water » (Deep Purple).Sous promesse de se rendre régulièrement à la messe, il emprunte la guitare électrique du curé (une Stratocaster !) ainsi que les clés de la chapelle pour y jouer avec ses amis.
Promesse qu’il ne tiendra jamais, bien entendu.
C’est là qu’il monte pour la première fois sur scène, en intégrant le groupe théâtral du sanatorium, où il joue ses propres sketches et une pièce d’Alain Scoff.
🎭 Le théâtre et la scène

Côté théâtre, il suit des cours avec Christian Jehanin et rejoint sa compagnie Le Théâtre de l’Éclipse à Juvisy-sur-Orge.
Le Mistero Buffo tourne en France et reçoit un prix au Festival de théâtre amateur du Havre.