Les actions  autour du spectacle 
Les italiens ne voyagent pas, ils émigrent
Un One-Man-Show Musical, Drôle et Émouvant d’après une histoire vraie

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En remerciement, Mario vous offre un morceau de votre choix à jouer à l'harmonica

PREAMBULE

Avec sa forme musicale et humoristique, le one-manshow musical « Les italiens ne voyagent pas, ils émigrent », dont l’harmonica tient à rôle essentiel, est avant tout pour l’auteur un devoir de mémoire en hommage à ses parents, immigrés siciliens.

L’EMIGRATION : un sujet actuel

Même si l’émigration dont parle le spectacle se situe dans les années 50-60, il n’en reste pas moins qu’elle est toujours d’actualité, et pourrait facilement être transposée à la période actuelle. Malgré quelques point particuliers à l’émigration italienne, ne pourrait on pas transposer ce thème aux immigrations actuelles telles que les migrants perdues en méditerranée, les ukrainiens, les africains, les roumains et d’autres que j’oublie.

Finalement, la question de l’intégration est toujours la même : est-elle possible quelque soit sa culture d’origine ? Doit-on effacer sa culture d’origine pour s’intégrer ? Doit-on la garder et si oui quelles conséquences pour le pays accueillant, doit-on en avoir peur ?

L’ÉMIGRATION ITALIENNE EN FRANCE : UNE AUTRE ÉMIGRATION

Bien sûr l’émigration sicilienne a bien des points commun avec d’autres émigrations passées et aussi actuelles :

- On y retrouve un racisme qui commence en Italie, entre le nord industriel et les Terrone (cul-terreux) du sud. Il se poursuit dans les pays accueillants (France, USA, Suisse…) qui, ne connaissant pas l’immigré, pensent qu’il «ne pourra jamais s’intégrer car il n’a pas la même culture».
- On y retrouve également la difficulté du migrant qui ne connaît ni la langue ni les coutumes du pays accueillant.
- Et que dire de ses efforts, souvent malhabiles, pour que ses enfants deviennent des français à part entière.

Cependant, l’émigration sicilienne a des points particuliers : une volonté d’intégration si forte qu’on essaie d’oublier la culture d’origine, on ne parle plus l’italien à la maison, on parle le français, on ne cuisine plus les plats italiens, on apprend les plats français, on francise les prénoms : on ne s’appelle plus Pietro mais Pierrot.

Mes parents n’ont pas joué ce jeu. Mes parents n’ont pas voulu effacer leur culture. Contrairement aux conseils des instituteurs, nous parlions un «italo-sicilien» à la maison. Ma mère cuisinait les pâtes fraîches en chantant des chansons populaires italiennes. Mon père jurait en sicilien quand il se tapait sur les doigts en construisant sa maison. 

L’HARMONICA : un instrument surprenant

Comme indiqué dans le préambule, l’harmonica tient un rôle important dans ce spectacle. Cet instrument qui le plus vendu dans le monde, est pourtant considéré comme un instrument de seconde zone, souvent par méconnaissance...
Le rôle qui lui est attribué ici est différent de ce que l’on entend habituellement. Trop souvent relayé dans un rôle d’accompagnateur et uniquement dans les styles blues ou country, ce spectacle le valorise : Il est à la fois accompagnateur, illustrateur et soliste en blues bien sûr, mais aussi dans le jazz, la musique populaire italienne, la bossa-nova et même l’opéra, prouvant ainsi que cet instrument considéré souvent comme un jouet est en fait un instrument complet aux multiples facettes.

LES ACTIONS, LES ECHANGES AUTOUR DU SPECTACLE

A la fin d’un spectacle, l’artiste d’un one-man-show range ses affaires et rentre chez lui. Quoi de plus triste que de quitter un spectacle sans échange ?

  • Le bord de scène :
C’est pourquoi, je propose qu’à la fin du spectacle nous organisions un bord de scène autour du verre de l’amitié. Ainsi, les spectateurs qui le souhaitent pourront échanger avec l’artiste à bâtons rompu à la manière d’une rencontre entre amis autour du processus de création du spectacle, son écriture, sa mise en musique, le choix des chansons, la mise en scène...

  • Un échange de type ciné-club :
Pourquoi ne pas discuter sur le spectacle et l’émigration en règle générale et essayer de répondre ensemble aux questions  :
- Le migrant doit il effacer sa culture pour s’intégrer ?
- Le migrant peut il s’intégrer en conservant sa culture d’origine ?
- Si oui, quelles conséquences pour le pays accueillant ?
- Doit-on en avoir peur du migrant ?

  • Une master-classe d’harmonica :
L’harmonica est d’un coût très raisonnable est l’instrument nomade par excellence. Pourquoi ne pas le découvrir en master-classe ?
Je vous propose donc d’organiser une master-classe découverte de cet instrument très riche et méconnu. A la fin de la rencontre, je propose de distribuer aux participants quelques partitions simples avec un chiffrage permettant aux personnes ne connaissant pas le solfège de jouer ces musiques morceaux en rentrant chez eux. 
Mario sur scène

LU DANS UNE CRITIQUE DE SPECTATEUR


Comme je l’ai lu dans une critique de spectateur sortant d’un de mes spectacles :
« L’utilisation de son harmonica est différente des autres harmonicistes car l’instrument raconte des histoires, vient en illustration et permet, à nous public, de découvrir cet instrument sous ses multiples facettes. »

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